12 mars 2014
Liberté
Si je ne t'avais pas rencontré, peut-être que jamais je n'aurais senti ces ailes pousser... Elles m'ont donné la force de me libérer , de mettre fin à des années d'apnée. Tu disais: "Il faudra m'expliquer comment vous faites pour supporter", ou encore, "si vous avez besoin de parler à quelqu'un, je suis là"...
En sortant du tribunal, rien ne m'aurait fait plus plaisir que de pouvoir te parler, te raconter, te dire: "Et maintenant, qu'est-ce qu'on fait?"
A la place, je me suis fait tatouer: "De ma blessure a jailli un fleuve de liberté".
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